Dans la quête d’un logement à Bordeaux, ville marquée par une envolée des prix immobiliers ces dernières années, trouver un bien abordable relève souvent du défi. Toutefois, selon les dernières analyses de SeLoger, certains quartiers offrent encore des opportunités à saisir. Voici un zoom sur les cinq rues bordelaises où le mètre carré est le plus abordable, une aubaine pour les acquéreurs à la recherche de bonnes affaires.
Sommaire
Toggle1. RUE CARDINAL FELTIN – Prix moyen au m2 : 3 394€
Située dans le quartier de Bacalan, la Rue Cardinal Feltin se distingue par le prix moyen au mètre carré le plus bas de Bordeaux. Avec une moyenne de 3 394€, elle représente une opportunité pour ceux désirant s’installer dans un secteur en pleine mutation.
2. IMPASSE LAFITTE – Prix moyen au m2 : 3 394€
L’Impasse Lafitte, également à Bacalan, affiche les mêmes tarifs attractifs que la Rue Cardinal Feltin. Ce petit coin tranquille pourrait bien devenir le point de départ d’une vie nouvelle pour les futurs propriétaires.
3. RUE ANDRÉ SEGUIN – Prix moyen au m2 : 3 394€
La Rue André Seguin, avec un prix moyen identique à celui des deux premières rues, confirme l’attractivité de Bacalan pour les acheteurs à la recherche de prix accessibles. La cohérence des tarifs dans ce secteur en fait une zone de choix pour investir.
4. RUE DU PROFESSEUR DEVAUX – Prix moyen au m2 : 3 543€
Un peu plus chère mais toujours dans une fourchette abordable, la Rue du Professeur Devaux offre une alternative intéressante pour ceux qui cherchent à investir dans la pierre sans se ruiner.
5. RUE LÉONIE – Prix moyen au m2 : 3 606€
Enfin, la Rue Léonie clôt ce classement avec un prix moyen au mètre carré légèrement supérieur, mais qui reste dans les limites de l’abordable pour la ville de Bordeaux.
Conclusion
Ces rues représentent des niches dans un marché bordelais souvent perçu comme inaccessible. Elles offrent des perspectives réelles pour les acquéreurs souhaitant s’installer à Bordeaux sans compromettre leur budget. La baisse notable des prix dans ces zones pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère pour le marché immobilier local, rendant l’acquisition d’un bien à Bordeaux à nouveau envisageable pour un plus grand nombre.