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par | 21 Juin 2024 à 09:06

Panaille à Bordeaux : Plus qu’un restaurant, une odyssée gustative

Découvrez Panaille, le nouveau joyau de Bordeaux qui transforme chaque dîner en une expédition culinaire. Avec des influences de la Colombie à l'Asie, et un engagement fort pour le local et l'écoresponsable, ce restaurant promet plus qu'un repas : une véritable évasion gustative.
Temps de lecture : 2 minutes

Attention, âmes sensibles s’abstenir : ici, on voyage intense

Bienvenue à Panaille, où chaque plat est une carte postale comestible. Si Bordeaux était déjà sur la carte des épicuriens, Panaille vient d’ajouter une grosse étoile fluorescente sur cette dernière. Imaginez un endroit où vos papilles font du globe-trotting sans que vous ayez à bouger de votre chaise. Intéressé ? Laissez-moi vous embarquer dans ce tour du monde culinaire qui commence au 137 rue du Tondu.

L’aventure culinaire commence dans un patio

Imaginez un grand patio végétalisé, un peu comme si le Jardin d’Eden avait eu un rejeton avec un bistrot chic. C’est là que Manon Cazes, Martin Lafont et Jim Perrot, trois mousquetaires de la gastronomie, vous accueillent. Ces explorateurs des saveurs ont bourlingué autour du globe avant de jeter l’ancre à Bordeaux, ramenant dans leurs bagages des recettes aussi exotiques que authentiques.

Un menu qui change comme de chaussettes

Chez Panaille, la carte change plus souvent que de mood sur Instagram. Fraîcheur ? Check. Diversité ? Re-check. Et végétal à l’honneur, parce que respecter la planète, c’est sexy. Actuellement, attendez-vous à saliver devant l’œuf mayo miso ou le ceviche de coquillages, sans oublier le merlu local qui flirte avec une purée wasabi. En dessert ? Un crémeux pistache qui fait des pieds et des mains pour séduire une fraise reposant sur un palet breton.

Le monde dans votre assiette

Panaille, c’est un peu comme un Tinder pour vos papilles, mais où tous les profils seraient à droite. Influences colombiennes ? Check. Touches asiatiques ? Double check. Et toujours ce petit twist bordelais, parce qu’après tout, on n’oublie pas d’où l’on vient. Le restaurant s’engage aussi dans une cuisine écoresponsable, flirtant avec les producteurs locaux pour des produits frais et éthiques.

Et pour l’apéro ?

Ah, j’allais oublier ! Les cocktails ici ne sont pas en reste. Signés The Bottler, ils sont aussi bordelais que la Garonne et promettent de vous faire voyager aussi sûrement que les plats. Mention spéciale pour le sirop bio de chez Maison Meneau, qui donne à chaque gorgée un goût de « reviens-y ».

L’addition ? Un prix pour chaque bourse

Panaille, c’est le luxe accessible. Avec un menu midi à 23 €, et pour ceux qui préfèrent les soirées étoilées, un menu soir à 43 €. Chaque option est une promesse de découverte, sans avoir à vendre un rein.

Alors, on y va quand ?

Manon, Martin et Jim ont réussi un coup de maître : faire de Panaille un lieu où chaque repas est une aventure, chaque bouchée un pas de plus autour du monde. Pour ceux qui aiment manger avec leurs yeux autant qu’avec leur bouche, Panaille est un incontournable. Et pour les sceptiques, une seule visite suffira pour transformer vos « bof » en « wow ». Prêt pour l’embarquement ? Réservez votre table, et que l’aventure commence !

Chers lecteurs, après tout, pourquoi voyager loin quand Bordeaux a tant à offrir ? Panaille n’est pas juste un restaurant, c’est une porte ouverte sur le monde, avec un billet aller pour le plaisir et retour vers la satisfaction. À vous de franchir le seuil.

Pierre François

Pierre François

Pierre François

Pierre François

Auteur / Economiste / Sociologue

👔 Sociologue et Chercheur
📍 Basé à Paris | Spécialiste en sociologie économique et sociologie de l’art
🎓 Formé à l’École Normale Supérieure et à l’Institut d’Études Politiques de Paris
🤝 Dirige des projets de recherche centrés sur le capitalisme et l’assurance
🌍 Intéressé par les liens entre économie, culture et société
💼 A publié sur des thèmes variés liés à l’économie et à l’art
📸 #Sociologie #Économie #Culture